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 Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna]

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MessageSujet: Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna]   Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna] EmptyLun 26 Nov - 13:02

==> La promesse du Fer et du sang

[A la demande de mon dieu, j'ouvre le sujet pour alléger le topic principal]

Quelques dalles, une ou deux colonnes plus loin, le temps de se choisir le point de vue idéal pour repérer puis intercepter tout importun risquant de perturber la rencontre entre Athéna, enfin, celle présentée comme telle, et le seigneur Poséidon, le seul et l'unique être digne de veiller sur le monde. La Sagesse, quant à elle, semblait si faible qu'elle aurait pu faire pitié à la brune Générale. Seulement, Erin en était incapable, tout juste tentait-elle de retrouver sous les traits de cette jeune fille juchée sur la monture de son seigneur celle présentée comme indomptable et puissante, autant par la puissance guerrière que par la stratégie et la Sagesse. A moins qu'elle ne joue elle-même double jeu pour tendre un piège à mon maître.

C'était trop facile de jouer les faibles femmes, les damoiselles en détresse prisonnière de sa grande tour avant de se révéler être la pire des sorcières ou des mégères. La Nymphe était froide et ne cessait de penser dans tous les sens. La sécurité de Poséidon passait avant tout. Si jamais, cette fille tentait de lui faire du mal, Scylla le lui ferait payer chèrement.

Mon maître avant tout...

Enfin, elle s'arrêta en un point précis avant d'attendre d'éventuels chevaliers. Erin s'installa tout simplement sur l'une des colonnes effondrée attendant que les autres marinas prennent parole, elle se sentait inférieure à eux, plus jeune d'une certaine façon. Aussi, se soumettait-elle d'office à leur autorité. C'était clairement à eux de parler en premier. Du moins dans la tête de la jeune femme, encore influencée par son éducation et les lourds protocoles qu'elle avait assimilés au cours de sa vie. Les femmes avaient une place immense en dépit des apparences.

Lady Anna, un seul de vos regards pouvaient glacer les sangs et pourtant, seuls vos meurtriers ont du le voir. Vous n'aviez nul besoin de l'utiliser pour vous faire entendre, votre charisme et votre aura suffisaient...

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Satine


Spectre Céleste
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Satine

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Dieu Protecteur: Hadès

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MessageSujet: Re: Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna]   Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna] EmptyLun 26 Nov - 16:57



Enough for one life °~


=> ~° La Promesse de fer et de sang


Je n'y avais pas été préparée, je n'avais pas compris son geste pas plus que de sentir la douceur de ses lèvres sur les miennes. Mon corps ne me répondais plus, quelque chose agissait, était à l’œuvre pendant ce bref échange qui me sembla être une éternité. Les yeux grands ouverts sous le coup de la surprise, ceux là traduisaient à quel point il avait réussit à me décontenancer. Mais bordel, pourquoi je n'arrivais pas à bouger ? Je ne comprenais que dalle ! Faisait-il cela par jeu, pour assouvir une petite vengeance pour tout à l'heure ? Non, il n'était pas dû genre à démontrer une telle bravade, surtout devant deux divinités de surcroît !
Je n'osais imaginer les commentaires qui risquaient de pleuvoir sur moi ! Mais ma conscience glissait, perdue dans une douce torpeur. Bientôt, mes paupières frémirent, et je crus perdre un court instant, connaissance. Il n'en fut rien, mais je sentis comme un poids s'enlever de mon cœur.

Ce parfum, son parfum me parvenait par intermittence, mais bien plus distinctement avec cette soudaine proximité. Je sentais ses mains froides, un rien expertes, sur la peau nue de mon cou. Un frisson me parcourus sans que j'en détermine l'origine exacte. Mes sourcils se froncèrent quand cette drôle d'étreinte prit fin. Je le regardais sans comprendre tout de suite le sens de ses mots. Empoisonnée ? Quand ? Les questions se bousculaient dans ma tête à un rythme effréné ! Bon sang ! Je voulais me barrer d'ici ! Mais je restais là plantée comme une godiche à le regarder s'éloigner. Putain j'étais sur le cul ! Mon visage trahissait mon incompréhension : j'étais totalement perdue, déboussolée. Mieux, pantoise, je n'avais pas la force de réagir. Je ne voulais pas mettre de l'huile sur le feu, je désirais partir.

Oui, une profonde lassitude s'était emparée de moi. Je finis par prendre une grande goulée d'air. Fichtre ! Pour qui il se prenait à jouer les Princes Charmant encore ! Je voyais dans ses intentions, une preuve évidente de son côté chevaleresque ! Il était un homme prévenant, ça c'était sûr, mais un peu trop à mon goût ! Il avait décidément une drôle de façon d'extraire le poison. Un soupir.
L'eau de pluie continuait de ruisseler sur moi, à courir le long de mes joues, détremper ma crinière de feu, plaquer quelques mèches sur mon front. Je me détournais quand d'elles-mêmes, se mêlèrent à l'eau, des larmes inexpliquées. Je me maudissais moi-même en faisant volte-face. Je courrais presque pour m'éloigner à tout prix de tous ce monde. J'avais besoin d'être seule. Pourtant, le devoir ne me fit pas aller bien loin. Je vis Erin à quelques foulées, toujours entourée de cette aura qui lui était propre, froide, et d'une fragrance bestiale. Je ravalais ma frustration un temps pour lui adresser un petit signe de tête. Non, pourquoi se laisser aller maintenant aux sentiments ?

Mon cœur se tordait fortement dans ma poitrine. J'entourais mon châle autour de mon cou, lui aussi complètement trempé, je grognais un peu, faisant mine d'être de mauvaise humeur.

« J'ai hâte de partir Erin, être ici est une perte de temps, nous devrions déjà être en route pour la reconquête de notre Sanctuaire plutôt que d'aider ces... ces... incompétents !»

Je la regardais, elle qui était assise sur une colonnade. Je ne lisais rien dans ses yeux. Tant d'inexpressivité me fit bizarrement du bien. Avec elle, je me disais qu'il n'y avait pas de risque d'être jugée trop sévèrement, voire raillée. Mon petit sourire s'effaça quand une vague de mélancolie m'envahit de la plus horrible des manières. Au souvenir de ses cheveux de feu, deux visages apparaissaient dans mon esprit. J'eus vite fait de les chasser d'un petit geste de la main.

« Pardon, je ne devrais pas dire cela, je sais, mais...»

Je me pinçais l'arête du nez, comme si j'avais mal. Ce qui était effectivement le cas. J'inclinais de nouveau la tête dans le but évident, je l'espère de m'excuser, pour partir un peu plus loin encore. Non pas que sa présence était une nuisance non ! D'aucunes façons mais je n'avais pas le courage de déverser ma frustration sur elle. Sur personne d'autre que moi d'ailleurs. Mes pieds s'enfonçaient dans la mélasse à chacun de mes pas, aussi il ne serait pas très difficile de me pister en cas de besoin ! Mais là, il était impératif que je sois seule un petit moment. Repérant une maison dévastée, je grimpais prestement sur le toit qui tenait dans un équilibre précaire. La vue qui s'offrait à moi fut saisissante de tristesse : tant de familles détruites, éparpillées. Perdues. En deuil déjà. Je voyais des gens se rassembler devant une pierre levée, là où nous avions enterré l'enfant un peu plus tôt. Bien sûr, le propre souvenir de mes enfants m'assaillit, comme le ferait un cauchemar. Mais je ne dormais pas. Non... non je ne rêvais pas, tout ceci était bel et bien réel. J'avais tout perdu. Tout.

Mes enfants arrachés ! Mon époux mort, ma sœur très loin de moi à un tel point que je ne ressentait plus du tout sa présence ! Tout faisait que grandissait en moi, un sentiment dévorant. Et pour rien améliorer le tableau, moi je jouais à un jeu dangereux. Je me riais de la mort, des conséquences de mes actes et m'évertuais à manier le feu comme une enfant inconsciente. Inconsciente je l'étais, jusqu'à ce que ce baiser ne me remette définitivement les pieds sur la terre ferme : et merde, ce que la réalité pouvait être rude. Assise, le regard perdu dans l'infini horizon, je murmurais une prière secrète pour ceux qui me restaient chers et qui n'étaient plus là. La gorge serrée, je ramenais mes jambes contre mon torse avant d'enrouler mes bras autour de mes genoux. La tête calée, ma chevelure cascadant autour de moi comme le ferais le tissu vaporeux d'un robe, je pleurais tout mon saoul, désœuvrée devant mes propres actions.

Mes constats. Mes envies. Je tutoyais la Mort sans qu'elle ne daigne tourner la tête vers moi ! Et que faisais-je ? Je tournais le dos à mes convictions pour sombrer dans les ténèbres. À quoi pouvais-je bien me raccrocher à par mon devoir ? Mais même Poséidon n'avait pas voulut que je reste à ses côtés ! Il m'avait renvoyée plus loin à surveiller ces débiles ! Quoi ? Qu'aurais-je dû faire avec gueule d'amour ? Le traîner par la peau du cul en entendant son refus ? L'attaquer ? Non, je n'aurais pas eu le courage de lever la main sur lui à ce moment là. Pas après ce qu'il avait fait. Osé faire.

La bouche sèche, les larmes silencieusement finissaient leur courses sur les tuiles rougeâtres et délavées. Amères pensées ! Ô comme tu me manquais Astre ! Ta seule présence aurait suffit à me soulager. Mais tu as décidé de mourir ! Comme je t'en veux mon amour ! Toi qui m'a laissé toute seule avec ce secret trop lourd pour moi ! Jamais je ne le trahirais devant les autres, je te l'ai promis … mais toi ? Pourquoi ne pas avoir tenu ta parole ?

Je me souviens de tes mains qui courraient sur mon visage, tes mots qui avaient le don d'éteindre ma colère, même la plus noire. Je me souviens de tes yeux, de ta bouche aimante, tes caresses, ton sourire. Ton amour pour moi. Mais je ne me souvenais pas de l'expression de ton visage apaisé par le baiser de la Mort. Car je ne t'ai pas encore vu, mon amour. J'étais veuve.

Veuve et perdue sans toi. On m'avait relevé, j'avais caché jusque là mes blessures. Sauf que mon cœur hurlait son désespoir et je n'avais plus la force de l'entendre crier. Perdue, mortifiée, en faite je ne désirais qu'une seule chose : te rejoindre. Je venais de m'avouer l'inavouable. Je redressais alors à demi le visage pour que mes yeux scrutent le ciel gris.

Je ne distinguais aucunes lumières. Alors, fébrile, je penchais la tête quand soudain, un petit bruit attira mon attention. Quand je rouvris les yeux, la rose de Celsius reposait là, à mes pieds, toute constellée de gouttes d'eau. Je la ramassais sans prendre garde des épines, aussi, un petit picotement m'appris que je venais de m'entailler le doigt. Je regardais le sang coaguler sur le bout de mon index. L'écarlate m'inspirais le trépas, la fleur, une sordide tragédie issue d'un quelconque bouquin à la noix. Je souriais à l'éventualité de faire comme ce couple malheureux, ces idiots de Roméo et Juliette.

Je continuais de tortiller la rose dans tous les sens dans l'espoir peut-être inavoué de trouver une réponse. Je portais la fleur à mon nez pour en humer le parfum brièvement. Avant qu'une inspiration brutale ne me fasse sortir de ma léthargie. Ma voix s'éleva doucement, pour que personne ne puisse entendre cette triste complainte.

Destinée à mes enfants perdus. Ce baiser, en faite j'aurais voulut que ce soit non point celui de Celsius, mais celui de la Mort.



=> Topic à Créer [L’invincible Armada]

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MessageSujet: Re: Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna]   Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna] EmptyLun 3 Déc - 19:16

Halte ! Nul ne dérange Poséidon !!! [Ouvert à tous ceux qui veulent voir Athéna] G_100610

Un instant, elle se sentit comme isolée loin de tout et surtout de cette folie qui s'était abattue sur le domaine de la Sagesse. Loin sous la pluie battante, il lui semblait entendre le tumulte de la guerre, des chevaliers courant en tout sens lui parvenir comme surgissant d'un autre monde et au coeur de tout cela, la voix de son dieu. Son roi, son seigneur, Poséidon dont les paroles la guideraient vers sa nouvelle vie. Ainsi se tenait-elle sur sa colonne abattue aussi froide l'une que l'autre. Une poupée sur une sculpture de marbre, glacées et impassibles entourée par la vie. Soudain, Erin entendit une voix aussi enchanteresse que celle de la Naufrageuse guidant les hommes vers leur fin. Une voix rejoignant les précédents échos en sa tête. Réponses qui n'avaient cessé d'entraîner leur lot de questions. Les seules constantes demeuraient l'existence de ces deux déesses se présentant sous le nom de la déesse Athéna et cette pluie qui ne cessait de tomber jusqu'à ce que cette voix ne la rejoigne pour la retirer de ses réflexions.

Un appel qui n'en était pas un ou était-ce son regard vide de Fée des Eaux qui l'avait pétrifiée et découragée. La brune Erin avait levé les yeux vers la Sirène qui ne semblait plus réellement la voir, comme prise d'un malaise à sa seule présence.

Me fuir...

Scylla, sans un mot, incrédule, la regarda partir sans lui avoir réellement parlé. En avait-elle simplement eu le désir ? Rousse silhouette la fuyant sous la pluie...

Comme eux... Comme eux tous... Même les Marinas me fuient...

La solitude semblait être son lot, s'attachant à chacun de ses pas, et ironiquement, c'était sa malédiction qui l'empêchait d'en souffrir. Jeux des apparences, son regard vide en avait déjà effrayé plus d'un mais que des guerriers se sentent mal à l'aise en sa présence. Elle avait vu Mary s'éloigner pour ne plus revenir. Trop de choses l'entouraient tout comme les animaux de Scylla....

Seule, elle attendit les derniers souhaits de son roi, son seigneur. Poséidon et sans davantage de mots, elle se releva, laissant sa colonne à la fureur des éléments.

Rien ici, il ne se passe, rien, il ne se passera tant que les hommes courront en tout sens et se limiteront à leurs vies, repliés sur eux-mêmes. Tant qu'ils ne se rappelleront pas pourquoi ils se battent et à qui ils ont voué leurs vies, leurs idéaux en endossant leurs armures. Ont-ils oublié qu'ils embrassaient l'idéal de la déesse de la Guerre ? Qu'elle devrait occuper une part immense dans leurs vies... Si ce n'est la plus grande, ils devraient ouvrir davantage leur coeur sur elle au lieu de se laisser aller à leurs douleurs d'hommes...

Et vous, pauvre Athéna, que vous a-t-on fait ? Pour devenir cette petite chose tremblante que je vois auprès de mon seigneur ou cette pathétique déesse criant aux pieds de sa statue son propre nom. Que vous êtes pitoyables à supplier vos propres chevaliers de croire en votre identité...

Et toi Erin, qu'es-tu si ce n'est un monstre au service de l'empereur des Mers et océans.


A cette dernière pensée, aussi terrifiante que pouvait l'être le vide de son coeur, Scylla aux Six Monstres se décida à rejoindre son navire. Une seule seconde avait suffi. Poséidon aurait pu lui demander de le suivre dans le Tartare qu'elle n'aurait pas davantage hésité. Un ultime regard en arrière et elle songea à tous ces êtres débordant de vie, elle qui en était quasi dénuée. Elle sentait aussi la flamme du divin Héphaïstos rejoindre celle de l'autre Athéna.

Héphaïstos... Epoux d'Aphrodite, te voici près d'une autre que ta femme... Qu'espères-tu ? Aphrodite te manque -t-elle ?

Et toi, ô belle Cypris, pourquoi ? Pourquoi as-tu ordonné à ton enfant de me décocher une flèche de plomb ?


" La flèche de plomb... "

Erin avait besoin de mettre un nom sur ce qu'elle était même si cela était faux. Elle en avait besoin pour continuer. Si dans l'erreur, elle était, Poséidon finirait bien par l'aider à découvrir sa propre vérité. N'était-ce pas aussi cela le rôle d'un dieu ? Guider les hommes le servant vers leur destin...

En vue de son propre navire, elle rajusta sa cape sur les innombrables brûlures couvrant son corps. Le parchemin de Juan avait fait son office et la générale de Scylla souffrait terriblement. Même sa scale la blessait, de par son simple contact sur sa peau. Faible, elle ne devait pas paraître faible pour que son équipage lui obéisse. Femme et chef, elle se devait de prendre sa place au milieu d'eux. Les mercenaires lui avaient tant appris sur les dangers de paraître faible et indécise. Il lui faudrait leur respect et ce dès qu'elle apparaîtrait sur le pont. Scylla auréolée de son cosmos et de ses six monstres n'auraient aucun mal à s'imposer même si son charme irréel ferait tout aussi bien l'affaire. D'une beauté incroyable tout en restant inaccessible capable de glacer le coeur et les sens d'un seul regard, comme une Lady.

Enfin, l'instant approcha tandis que les autres marinas partaient vers leurs propres quartiers et elle s'élança vers le pont...

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