Cela commençait à devenir dangereux, là-haut … Perchée entre les écailles de la bête, Christa était à présent dans l'oeil du cyclone, elle n'était pas davantage préservée des cataclysmes que ses compagnons. Et comme elle voyait l'orbe rouge créé par le Cancer briller comme un soleil de sang près de la gueule du Béhémoth, elle se dit que cette fois-ci, il lui faudrait redescendre un peu.

* J'entends ces hurlements … Ce sont des âmes qui se savent condamnées. Le seul moyen de se protéger de cette destruction, c'est de l'esquiver … *

Sans perdre son sang-froid, Christa enroula les fils de cosmos qui sortaient de sa lyre autour de son avant-bras pour les tenir avec fermeté. Et elle attendit le moment propice. Juste avant de se laisser tomber dans le vide, le long de l'immense nuque de la créature de cauchemar, telle une araignée effarouchée.

La déflagration psychique, titanesque, ne l'atteignit pas seulement, à l'endroit protégé où elle avait trouvé refuge. La harpiste avait pris pied sur l'échine du grand reptile, et essayait de garder son équilibre, debout sur les écailles de ce grand corps convulsé, tour à tour brûlé et foudroyé. Une nageoire dorsale la préserva de la fournaise du Phénix, tandis que l'émanation de son cosmos de soie froide, tel un cocon léger, l'isola de la foudre impitoyable de Thor.

* La puissance de ces attaques … Je n'arrive pas à croire que cela puisse être le fait d'un simple guerrier de bronze, d'une guerrière sacrée ordinaire ...*

Galvanisée par les prouesses de ses coéquipiers, la guerrière d'Eta choisit se reproduire son attaque la plus puissante. Le Béhémoth était sonné au point de ne plus pouvoir réagir : il fallait frapper fort maintenant. Avec un peu de chance, ils parviendraient à le bloquer dans sa prison de glace. Toujours en équilibre sur le serpent qui tanguait, Benetnash entonna à nouveau son hymne à l'aurore, enserrant dans les cordes de son instrument leur adversaire.

* Tu étais encore engourdi de sommeil, Serpent. Il est temps que retournes dans ta prison pour retrouver le repos des monstres scellés … *

....

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'6' :

Résultat :

Le chevalier d' or venait de réussir un vrai coup de maître. C' était incontestable ! L' énorme monstre qui leur faisait face venait de vaciller pour la première fois en retombant lourdement vers le saint comme une tentative désespéré de le tuer une bonne fois pour toute. Mais Urio fut plus rapide, et quand, au moment du choc, d' une glissade il échappa à une mort certaine et horrible.

Pas maintenant mon jolie... répondit Urio tout en regardant le phoenix qui se mit en scène en voyant le Béhémoth immobilisé sur le sol glacé du Cocyte.

L' oiseau légendaire se mit en vol, bondissant par deux fois dans les airs frais de ce domaine, et lança une attaque élémentaire de type feu surpuissante vers la tête de la bête. Ce tourbillon de feu était extrêmement fort qu' il fit fondre une épaisseur de glace non négligeable.

L' une des ases, celle au caractère des plus trempé s' en alla martelé le monstre de son arme sans ménagement sous le regard amusé d' Urio avant qu'elle ne tombe désarçonné par un mouvement du Béhémoth et perdit son marteau. Miraculeusement, il revint à elle et elle se releva. Elle brandissait son arme en l' air en scandant haut et fort le nom de Thor et des éclairs vinrent déchiré le ciel avant de s'abattre sur le prisonnier des enfers. Le pauvre. En deux minutes il venait de s' en prendre encore plein les nifflettes et s' était pas encore finit.

Le son d' une harpe vint aux oreilles de celui qui avait fait tombé la bête colossale. Il se mit donc à regardé vers le dos, là ou il y avaient des dizaines de grandes écailles dorsales. La dernière asyne était là et n' avait souffert d' aucun dégâts des deux attaques précédentes.

Humm...A quoi joue t' elle sur son dos? Pensa le gold saint.

Son cosmos très calme malgrè les circonstances se fit entrevoir, et le chant continua. La harpe qu' elle tenait de ses deux mains laissa échapper des dizaines de fils et emprisonnèrent le redoutable serpent.

Incroyable !

Pour une nouvelle fois, le monstre légendaire se fit prendre dans les griffes de ces combattants de l' espoir et Urio n' allait pas tardé à rentrer en action lui aussi même si la fatigue le guetter de très près. Il refit appel à cette technique qui avait eut raison de cette vision de cauchemard et fut des plus rapide pour utilisé la même arcane cosmique. Une puissante orbe de couleur rouge sang revint naître entre ses mains et tout en regardant le presque mort hurla à ces compagnons d' infortune:

Je vous donne mes dernières forces dans cette ultime attaque. N' ayez aucunes craintes pour la suite de ce combat car vous continuez sur cette lancée il ne pourra que trépasser....

L' orbe rouge venait de grossir désormais d' un seul coup et le chevalier d' or ne perdit plus de temps car son cosmos perdait de sa splendeur. Il lâcha ses dernières forces sur la bête à terre et, une nouvelle fois, des le contact se mit à scintillé et à explosé. Dans la foulée, il envoya un autre rayon cosmique tout en rentrant dans un état de sueur intense. Etait-ce la fin du cancer maintenant ?

A moi les dés !

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#1 '6' :

#1 Résultat :


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#2 '6' :

#2 Résultat :


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#3 '6' :

#3 Résultat :

L'incroyable monstre titanesque était en déroute: les faibles lueurs de cosmos face a lui était en train de briller d'une intensité tel que chacun de leurs assauts obligé la bête a reculer son immense corps, ondulant de douleur a chacune de leurs attaques s'éclatant contre lui en des multiples gerbes multicolores de lumière. Brisant peu a peu sa carapace éffrité par des millénaires d'attente sous la glaçe, déchirant sa peau sous la chitine renforcé avec assez de profondeur pour qu'un liquide poisseux bleuté commence a couler du flanc qui avait subit alors la majorité des attaques: laissant dégouliner l'acide bleuté qu'était le sang de la créature infernal dans un grognement de fureur combative malgré la quantité alarmante de sang qui coulait au sol. Le dévorant lentement jusqu'a ce que de la fumée ne naisse de l'amas d'acide bleuté: preuve que même affaibli et perdant son sang le Béhémoth était une créature à ne pas prendre a la légère.

S'adaptant a la difficulté qu’opposait son sang acide, les adversaires du monstre géant prirent l'initiative de l'affronter de loin et cela en lançant leurs plus terrible attaque a distance comme fit le chevalier flamboyant en lançant sur le béhémoth une véritable tempête de flamme accompagnant un oiseau de feu aussi gros que le titan, faisant alors tomber le monstre contre l'une des parois restantes de la prison de glace, manquant de la réduire en avalanche de d’éboulis. C'était sans compter contre la femme au marteau qui fit s'abbattre le monstre contre le mont glaciale dans un coup de tonnerre retentissant: illuminant la forme de la créature a présent jeté au sol par la force de l'impacte et laissant des arcs électriques glisser le long de ses plaques dorsales.

"Groooooar..."

Rugit-il plaintivement alors qu'une tendre torpeur s'insinuait dans son esprit: une douce mélopée à caressant ses sens restants jusqu'a lui faire complètement oublier ses blessures d'où son sang acide coulait avec abondance... Manquant de peu d'endormir le monstre dans le sommeille réparateur qui ne dut son éveil qu'a une orbe rouge sang éclatant contre sa gueule immense: le projetant a nouveau sur le coté dans un dernier rugissement d'agonie pour le monstre qui n'était pas encore vaincu.

Les derniers accords de la Serenade à l'Aurore se laissaient entendre sous la sourdine entravant ses vibrations, qui entraient directement dans l'organisme de la bête, et sapait lentement ses défenses. Le chevalier du cancer avait alors eu le temps de filer à une vitesse inouïe à une position stratégique et de renouveler sa technique qui avait eu tant de succès. La bombe psychique avait grandi entre ses mains, et ferait à nouveau son œuvre.

Déjà préparée à cette technique, aussi imprévisible qu'elle était stratégiquement inéluctable, Christa sauta juste à temps pour éviter de se trouver au cœur de la mortelle déflagration, voltigeant au bout d'un filin de cosmos qui l'amena plus loin. Elle recula sur les plaques de glace qui tanguaient sur le fleuve des impies. Le monstre était désormais à bout de forces, son immense corps n'était qu'une immense plaie dégorgeant l'acide et le venin.

* Mais tout cela n'est rien … Il a survécu à la colère des dieux, à un sommeil dans les glaces éternelles du Cocyte. Nous ne pouvons que l'affaiblir. Il faut le repousser dans le fleuve et l'y emprisonner. Ce monstre ne peut pas mourir. *

Ysselda repartit immédiatement à l'assaut, alors que le Béhémoth se trouvait paralysé de douleur. La tornade le prenait dans ses courants violents, jusqu'à le soulever, et la Valkyrie volait, accrochée à une écaille, en riant d'aise. C'était un véritable jeu pour elle et le Phénix, qui préparait à son tour une surprenante attaque psychique.

Alors qu'elle reprenait son souffle, déterminée à repartir à l'assaut, Christa sentit son cœur manquer un battement. Derrière son masque, sa bouche s'ouvrit sur un silencieux cri de désespoir. * Rochel ! * Son cosmos immense avait disparu sans laisser de traces. Peut-être une image persistante ou une illusion, tout au plus. Christa ne put s'empêcher de se retourner, ignorant le monstre qui était aux prises avec ses propres démons, sous le coup de la technique du phénix. Les constellations au-dessus de leur tête se mirent à pâlir à une vitesse fulgurante.

Si elle avait cru retrouver la présence du spectre, la jeune femme dût admettre que c'était fini. Elle ressentait l'espoir dans les rangs de l'alliance alors que les déesses passaient le fleuve, bientôt mêlé à la peur et la crainte que l'extinction des astres dorés suscitaient. Aux yeux de l'asyne, tout cela ne revêtait plus beaucoup d'importance. Il lui semblait être si loin de tout ça … Rochel n'était plus.

La harpiste fit glisser ses doigts sur l'antique instrument. La mélodie qui en sortit retraçait une chanson dont les noms des personnages étaient perdus, et que même l'asyne pourtant apprentie d'une ermite, ne connaissait pas. Une chanson mélancolique, sur la finitude de toute chose, même des royaumes divins. Affaiblie de corps et pourtant étrangement raffermie dans son cœur, elle se tourna lentement vers le Béhémoth. Le ver était de plus en plus mal en point. Cela. Il lui restait cela à faire. Après, ce serait la fin du cauchemar.

Elle bondit à son tour à l'assaut, et grimpa à nouveau sur le dos du Béhémoth, cette grande ruine de monstre qui pouvait néanmoins faire tant de dégâts encore. Etourdi de douleur par les attaques conjuguées des saints et d'Ysselda dont la hargne au combat n'était pas émoussée, il serait bientôt vaincu. Le chant de la harpe reprit, entonnant la Valse des Neiges. La douleur s'éteindrait, et il retournerait dans sa prison de glace : même survivant, il ne se relèverait plus contre les guerriers d'Asgard et du Sanctuaire, se promit-elle, alors que les vibrations de la mélodie gelaient la bête de l'intérieur.

Allez, nous sommes à la fin !!

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'6' :

Résultat :

Par deux fois, le légendaire s'effondra sur le sol. Par deux fois, Urio, l' un des douze chevaliers d' or avait su se transcender pour mettre à mal la bête et le faire abdiqué sans qu' il ne puisse rien tenté tant sa fatigue émergée et que ses blessures le faisait souffrir. Ils tenaient tous le bon bout, tous donnant le maximum dans chacune de leurs facultés au combat.

Finalement, encore un nouvel assaut se prépara par l'intermédiaire de Ysselda, guerrière divine au tempérament de feu. De son marteau, tenu vers le haut, elle déchaîna toute sa puissance. Un tourbillon de vent se forma, et le Béhémoth se retrouva prit au piège dans cette cage élémentaire. Cela était assez étonnant au vu des mensurations de ce prisonnier millénaire, mais elle réussit un miracle une fois encore....La chute quant à elle dû faire très mal au corps de ce monstre.

Le cosmos d' Urio au plus bas, il regarda ses équipiers faire des étincelles pendant qu' il se ressourçait comme il le pouvait. L' oiseau immortel fit jaillir de son doigt un faisceau lumineux qui alla se loger dans le cerveau du monstre. Le gold saint avait déjà par le passé connu cette technique et il savait qu'on n' en ressortait pas indemne. Il allait vivre de véritables tourments dû à l' illusion du phoenix. Oscillant entre réalité et rêve...plutôt tromperie même...la bête allait devenir folle à n' en pas douter !

Le chevalier d' or du cancer ressentit les puissances cosmiques des deux chevaliers d' or qui se donnaient sur un ultime assaut. Le lion et la vierge tenaient le bon bout, puis étrangement le cosmos de Rochel disparu l' espace de quelques instants.

Incroyable ! Ils l' ont eu..Enfin ce sale chien trépasse.... pensa Urio.

Le chef des armées infernales vaincu, l' armé de l' espoir avait le champ libre pour donnait les derniers coups dans une stratégie d' invasion qui se fut irréprochable jusque là. Dans le ciel des enfers, plusieurs constellations zodiacal s' éteignirent en quelques secondes. Cela ne laisserait rien présagé de bon et le temps devint très limité. Il fallait agir avant que le portail dimensionnel des dieux jumeaux ne s' éteigne.

La dernière asyne se mit à jouer de sa magnifique harpe, puis un son mélancolique se mit à voyageait aux oreilles de chaque participant. Pourquoi une telle mélodie si triste ?...et elle se jeta sur le monstre à son tour afin de se trouver dans une bonne position et rejoua de sa harpe divine. Maintenant Urio réagit. Son cosmos qui n' éméttait plus que de petites vibrations se régénérer petit à petit. Il avait encore de la ressource en lui , alors il alla les cherchaient au fond de lui.



Il mit du temps à faire cela laissant le temps s' arrêtait sur le cocyte. La bête sommeillait, et ses équipiers le regarder attendant une probable réaction de sa part. Mais quelque chose n' allait pas. Bien plus en avant, le cosmos d' Athéna, du loup d' Asgard et d' Angel entrain de vaciller par une puissance ravageuse. Que se passait-il donc par là-bas ?

Bien. Il est temps d' en terminé afin de se rendre là-bas....

Le réveil. Urio fit apparaître des dizaines de feux follets autour de lui et ils ne cessaient de crépiter d' impatience. Ils étaient voraces et dangereux. Ils laissaient ce chant de destruction se déplacer en attendant l' aval du maître...

SEKI SHIKI KISOUEN !!!!!




Voilà ! Se fut l' appel....et aussi rapidement que possible, ils s' en allèrent sur la carcasse dormante afin de pénétrer dans sa chair et le brûler sans concession et qu' il se consume de l' intérieur. Il devait trépasser mais la prudence devait rester de mise car on ne sait jamais ce que peux nous réservé les maudits jeux des divinités régent cette terre.

Peut être le dernier lancer de dés ?

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#1 '6' :

#1 Résultat :


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#2 '6' :

#2 Résultat :


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#3 '6' :

#3 Résultat :


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#4 '6' :

#4 Résultat :

C'est dans un râle de d'agonie que le monstre reçut chacune des attaques de ses opposants: Le Béhémoth était sur le point de trépasser à nouveau. Si seulement il avait pu être éveillé bien plus tôt de son sommeille millénaire, il aurait eu la force d'affronter ses insectes qu'il voyait à peine à présent. Ses perceptions s'émoussant alors sous la douleur et le noir d'une fin ridicule... Lui qui avait maintenue l'étincelle de vie en son corps gigantesque par sa rancoeur envers celui qui l'avait emprisonné allait la perdre a cause des créatures naît sous le règne de Zeus: était a présent sur le point d'être vaincu...

Un vent incroyable se fit sentir avant d'entourer le monstre géant jusqu’à se transformer en un tourbillon qui souleva ses centaines de tonnes de masses avant de le jeter comme une pierre sur l'un haut mont restant du Cocyte, brisant alors sa carapace d'un seul coup: ouvrant l'armure millénaire du Béhémoth en éventrant sa chitine que seul Zeus alors armé du Foudre lors de leurs combat pendant la Titanomachie.

La créature blessé essaya de se redresser dans un grognement de douleur sourd, son regard aveugle retrouva alors le groupe tout en crachant son sang acide de fureur: Son corps pouvait être brisé, son sang pouvait couler mais sa haine ne pouvait s'éteindre. C'était la haine éternelle pour les dieux et leurs actuel maitre, le souvenir de souvenir de Zeus qui donnait la force au Béhémoth de se battre encore et encore... Chose qui se retourna alors contre lui quand le poing du Phénix transperça son esprit tel un rayon de lumiére ardent qui, ricocha sur ses souvenirs jusqu'à frapper l'instant précis qui avait conduit le titan à ce combat: l'instant où Zeus ivre de son pouvoir grandit jusqu'a avoir la taille d'un astre pour arracher alors, un pan entier de l'Enfer pour écraser le monstre réduit à la taille d'un ver en comparaison. Une larve qu'il ensevelie sous un glacier.

Dans le monde réel: la bête s'était arrêté comme figé dans le temps, il n'émettais plus aucun son ni grandement et sa course folle fut stoppé net quand il se retrouva alors piégé dans sa propre conscience... Pour lui le combat était fini. La dame des glaçes profita de l'immobilité de la créature pour invoquer de nouveau la glace qui forma sa prison: le recouvrant d'une poudreuse qui immortalisa de nouveau sa forme, effritant alors le sol sous la créature jusqu'a le rendre fragile; suffisament fragile pour que le dernier assaut ne fasse s'écrouler tout une partie du Cocyte sous le Béhémoth. Le faisant alors tomber dans la noirceur de la dernière prison à nouveau....