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 [1753] .: Nue, en pleine Nuit, mais avec des Patisseries. :: xAlephist :.

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Zira


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Zira

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MessageSujet: [1753] .: Nue, en pleine Nuit, mais avec des Patisseries. :: xAlephist :.    [1753] .: Nue, en pleine Nuit, mais avec des Patisseries. :: xAlephist :.  EmptyJeu 20 Sep - 20:13


:: Ma Chambre n'est pas un Moulin, mais pourquoi pas après tout ? :.
.: France, routes reculées. :: Juillet 1753 :: PS ~ Sté pas mon idée c'est lui ! xDD ::


Nouvelle conquête d’un soir. Cela faisait depuis longtemps partie du quotidien de la jeune femme, et elle n’en tirait aucune honte. Bien sur, rien ne ternissais sa réputation pour autant : depuis toujours, elle avait été maitresse dans l’art de… « tout se passe toujours comme je le veux. ». Mauvaise habitude à prendre peut être, mais du moment que cela marchait, ca n’était pas déplaisant ! Bien au contraire.
La victime du jour n’était ni désagréable à regarder, ni a connaitre sans doute. Mais monstrueusement ennuyeuse. Un visage lisse et fade, un regard inintéressant, une intelligence inintéressante et, à défaut d’être spécialement banale à cette époque d’illettrés, tout aussi ennuyeuse. La nuit non plus n’avait pas été palpitante, et la demoiselle avait eu vite fait d’embrouiller un peu la mémoire de l’homme et de le renvoyer –pas forcement très conscient- dans une autre chambre. [ou quelqu’autre endroit, qu’importe, du moment qu’elle avait son petit périmètre tranquille, dans celle qu’elle c’était évidemment fait gracieusement payer.]


La jeune femme, depuis l’Angleterre, avait gagné la France. Depuis qu’elle avait fait l’acquisition de son armure, elle s’y était énormément attachée, et la portait très régulièrement. Bien que « très indécente » aux yeux de la société, la noble parure lui offrait une liberté de mouvement formidable, tout en la mettant à vrai dire assez splendidement en valeur. Ea avait pris gout à cette allure originale, et totalement étrangère a la mode actuelle, et se plaisait a se démarquer autant de tous.
Et puis surtout, elle c’était découverte avec l’armure du corbeau de nouvelles capacités, dont elle n’hésitait pas à abuser à l’heure actuelle : tout les moyens étaient bons pour améliorer sa maitrise du cosmos, et aussi volages fussent elles, sont maître corbeau n’avait pas désapprouvé ses méthodes.

En cet instant, le « phénix des hôtes de ces bois » était pour sa part allé faire un petit tour, appliquant une fois de plus la règle selon laquelle il demeurait discret en période de conquête. Enfin, d’habitude la règle s’appliquait surtout aux endroits fréquentés et aux villes, mais de manière générale lorsque la demoiselle partait en chasse, elle était plus efficace sans « accessoires » de sorcières. Bien que ses facultés, méconnues du bas monde, lui auraient bien valu également un tel titre… Mais, en cette petite auberge de chemin, reculée et un peu perdue –il faut bien l’avouer- il pouvait la rejoindre sans que cela ne pose trop problème, et ne tarderais certainement pas à le faire. Une affaire de quelques heures, voilà tout.
D’ailleurs, que faisait-il exactement dans ses virées nocturnes … ? La demoiselle ne le savait pas exactement, du moins pas toujours. Elle c’était souvent demandé si l’homme, maudit et condamné a une enveloppe animale [qui n’était pas si mal à vrai dire] s’était vu envahit par des instincts primaires… Mais elle imaginait mal le fier et hautain Dorian Swann se mettre à courser des souris.



Enfin… Toute à ses réflexions, la demoiselle prit plus de temps que d’usage à s’endormir –Notez que les réflexions n’étaient pas seules responsables. De l’Autriche, elle regrettait cruellement sa couette épaisse, qui l’avait cette nuit la abandonnée au profit d’affreux draps rêches, inconsistants et désagréables sur sa peau nue. -, et ce seulement après avoir murement songé à « la suite ». Les saints, la Grèce, le Sanctuaire, Athena… Tant de choses qui lui paraissaient encore aussi éloignées qu’un peu invraisemblables. Elle ne se faisait pas tout à fait à cette perspective de nouvelle vie, mais c’était aussi ca, qui était excitant.
Et puis jusque là, les choses étaient même très amusantes. Elanore n’avait encore jamais eu l’occasion de se jouer autant des hommes, et de faire à ce point comme bon lui semblait. Elle savait bien que cela devait demeurer passager seulement, un temps d’oisiveté avant que les choses sérieuses ne commencent. Mais raison de plus pour en profiter pleinement, le plus oisivement du monde, tant qu’il en était encore temps. Finalement, ce fut le sourire aux lèvres que le sommeil la surpris.


Et d’une toute autre manière qu’elle fut surprise par… un invité surprise. Malgré le chant des premiers oiseaux, il faisait encore nuit lorsque la demoiselle du corbeau se réveilla à cause d’une étrange impression. Une aura vague, qu’elle peinait a identifier, et surtout une sensation de présence humaine tout à fait inattendue. Elle avait un peu hésité avant de décider d’y prêter attention, a demie inconsciente. Finalement, c’était un petit bruit agaçant, de petits craquements et mastications persistantes, qui avait eu raison d'elle.

Si Elanore Lust c’était permis bien des audaces en 19 ans d’existence, elle n’avait jamais songé à une telle situation. Que ca soit endossant un rôle ou l’autre. Il fallait bien avouer que c’était plutôt… cocasse. On ne se réveillait pas toutes les nuits parce qu’un homme inconnu se tient assis dans un coin de votre chambre les pieds sur la table, vous regardant dormir… en mangeant tranquillement des croissants. –d’où le bruit de mastication, vous l’aurez compris.-
Dans une semi pénombre, la silhouette fine était toute entière tournée vers elle, éclairée par la droite, a la fois mystérieuse et un peu grotesque, du fait de son attitude... gourmette. D’abord, Ea ne sut pas trop comment réagir. Elle était évidement effarée, mais ca n’était pas dans son caractère de se contenter d’un simple état de surprise. Déjà, elle avait commencé à mettre sur pieds quelques hypothèses…. La plus probable étant certainement celle d’un homme un peu déséquilibré et très intéressé par ses charmes … ? Pourtant, elle ne voyait pas trop de désir au fond des prunelles saphir qu’elle distinguait dans la semi pénombre. Par contre, elle voyait sans mal qu’il avait déjà l’air plus intéressant que celui qui lui avait payé la chambre… Un sourire se dessina sournoisement sur ses lèvres.

Elle n’essaya pas de cacher ses formes nues, ou de faire sortir cet inconnu indésiré. Fidèle à elle-même, elle se contentât de poser une main sur son genoux enroulé dans le draps laiteux, et, adossée au sommier du lit, de prendre la parole le plus naturellement du monde.

    - C’est étrange, cas je ne me souviens ni de m’être endormie à vos cotés, ni de vous avoir convié dans cette chambre ou même n’avoir jamais vu votre visage ~


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Moïra


Prêtresse d'Odinde
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MessageSujet: Re: [1753] .: Nue, en pleine Nuit, mais avec des Patisseries. :: xAlephist :.    [1753] .: Nue, en pleine Nuit, mais avec des Patisseries. :: xAlephist :.  EmptyDim 28 Oct - 0:45

      « Eh bien c'est peut-être parce que vous ne m'avez pas encore convié à rejoindre votre couche, ni même cette chambre, et ce parce que nous ne nous sommes jamais rencontré. »

    Dans la pénombre, le visiteur nocturne laissa ses lèvres se fendre d'un sourire amusé. A demi perdus dans les ombres qui voilaient sous visage tout juste éclairé par la lumière blafard s'échappant de la fenêtre, ses yeux dorés luisaient d'un éclat joueur en cette matinée si précoce. Tout comme celle qu'il contemplait sans aucune gêne, nonchalamment installé dans un fauteuil, le jeune homme semblait se délecter du décalage irréaliste qui s'opérait dans cette chambre miteuse d'une auberge qui l'était tout autant. Alors que le croissant qu'il avait entre les doigts de sa main gauche achevait de disparaitre dans sa bouche, l'homme se redressa quelque peu, retirant ses bottes cirées de la table pour les reposer sur le plancher et avancer d'avantage son visage dans la lumière tant pour le dévoiler aux yeux de la jeune femme que pour lire d'avantage dans ceux-ci ce qui pouvait bien s'y terrer.
    Le visage finement ciselé du jeune homme ne devait guère être plus âgé que celui de l'élue du Corbeau. Ses iris d'un jaune doux déjà remarqués auparavant étaient encadrés par des cheveux à la teinte azuréenne tombant de chaque côté de son visage à la peau pâle, fendu sur le côté droit de fines stigmates semblant partir de son cou jusqu'à son œil. Vêtu d'un veste longue et sombre recouvrant un veston de cuir et une chemine blanche, le visiteur dégageait une aura d'assurance propre aux hommes issus de la noblesse, mais dénué de la condescendance qui d'ordinaire accompagnait le moindre de leurs faits et gestes. Logé au creux de son bras droit, un petit sac d'où s'échappait une odeur délicieusement appétissante, chaude et sucrée. Nul doute qu'il s'agissait de l'origine des croissants et autres viennoiseries que le jeune homme dégustait depuis un moment déjà, mais où était-il allé les chercher de si bon matin?

    Loin, manifestement. Très loin. Du nom de l'atelier de boulangerie autrichien qui trônait sur le sac, on pouvait penser qu'il s'agissait là de délices de premier choix à dévorer lors du premier apport calorique de la journée. Mais si les croissants venaient effectivement de Vienne, alors comment pouvaient-ils être encore chauds ici, au beau milieu de la campagne française? Ce paradoxe ne pouvait s'expliquer que par une seule et unique réponse qui, le visiteur n'en doutait pas, auraient tôt fait de s'imposer à l'esprit de la jeune femme. Alephist, car c'était bien de lui qu'il s'agissait, laissa donc planer un long silence alors qu'il plongeait sa main gauche dans le sac pour en retirer cette fois-ci une chocolatine à l'odeur particulièrement alléchante et prendre une première bouchée avec un plaisir non-feint. Semblant ensuite se sentir quelque peu coupable, il agita la viennoiserie devant lui et s'adressa à son "camarade de chambrée" en prenant tout juste le temps d'avaler sa bouchée.

      « Vous voulez un croissant? Ils sont encore chauds! »

    Le Héraut d'Héphaïstos avait effectivement fait un long trajet trouver le nouveau possesseur de la Cloth du Corbeau. Quel n'avait pas été sa surprise en découvrant qu'il s'agissait d'une femme, qui plus est aux antipodes de son précédent porteur qui figurait aujourd'hui parmi ceux qu'Alephist pouvait considérer comme des "alliés". Retrouver sa trace n'avait pas été très difficile, en particulier grâce à son "exhibitionnisme" de son armure qui, il fallait l'avouer avait du genre à rester ancrée dans l'esprit de ceux qui la croisaient. Ce qui avait pris plus de temps par contre avait été de remonter cette piste jusqu'à elle, la jeune femme ayant visiblement décidé de ne jamais rester au même endroit plus d'un soir et de se diriger à tout allure vers la frontière. Ayant cependant suivis une ligne droite vers la Grèce depuis son débarquement sur les terres de la fleur de lys, il n'avait pas été difficile pour l'assistant du Divin Forgeron de l'intercepter à moment donné et se plantant sur sa route et en attendant qu'elle se présente... Ce qui avait, au final, pris moins de temps qu'il ne l'aurait cru de prime abord. Cette nouvelle recrue d'Athéna était décidément bien vive...

    Alephist semblait attendre quelque chose de la part de la jeune femme. Bien sur, il aurait pu aller à l'essentiel ou se présenter en lui révélant son identité -cela ne le gênait nullement-, mais il avait le sentiment que cela ne collerait pas avec les auspices d'une telle rencontre. Le jeune homme ne voulait pour cette fois pas brusquer les choses au risque d'apeurer sa cible ou de la mettre mal à l'aise. Non. Pour cette fois, il allait se prendre au jeu. Pour cette fois, le temps était son allié. L'heure également. Face à eux qui se levaient assurément avant quiconque, qui aurait osé venir leur disputer le Monde?
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Zira


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Zira

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MessageSujet: Re: [1753] .: Nue, en pleine Nuit, mais avec des Patisseries. :: xAlephist :.    [1753] .: Nue, en pleine Nuit, mais avec des Patisseries. :: xAlephist :.  EmptyDim 3 Mar - 20:01


:: Ma Chambre n'est pas un Moulin, mais pourquoi pas après tout ? :.
.: France, routes reculées. :: Juillet 1753 ::


Il avait le mérite de dire les choses comme elles étaient, et cela plût à la jeune femme. Sa future vie de sainte la mènerait à bien d’autres étranges surprises de ce type, et celle-ci n’était que la première. Mais ca ne serait pas pour lui déplaire. Du moins était ce ce qu’elle pensait, mais c’était souvent sans penser a toute la violence, et les difficultés, que représentait également le statut de chevalier.
La lumière faisant jour sur son visiteur matinal, Luxea eut tout le loisir de constater qu’en effet, elle n’avait jamais été confrontée a ce visage au par avant. Car si tel avait été le cas, se dit-elle, elle s’en serait sans doute souvenue. Certes, elle avait dans les soirées parisiennes et viennoises rencontré des centaines de personnes : mais sa mémoire était bonne, surtout quand les cheveux étaient bleus. Et puis, une personne qui sans aucune gêne s’invitait dans votre chambre aux aurores avec son petit déjeuner, ca n’était certainement pas quelqu’un d’ordinaire, et par la même quelqu’un dont on se souvenait sans trop de mal.

L’odorat de la jeune femme fut le premier de ses sens à être charmé. Non par le visiteur inattendu, mais parce qu’il préservait précieusement coincé au creux de son coude. Elle eut tôt fait de reconnaitre la facture du paquet qu’il tenait, qui lui était plus que familière. Mais celle-ci révélait deux étrangeté : en premier lieu, il n’y avait à sa connaissance aucune filière de cette boulangerie en France, et pourtant, les denrées semblaient à peine sorties des fourneaux. Mais deuxième chose, qui attirait peut être même plus son attention… Il était presque ridicule de commander des croissants dans une boulangerie viennoise ! Il n’y avait que les amateurs pour assimiler la capitale de l’empire aux « viennoiseries », et si les croissants étaient peut être nés dans les cuisines impériales, c’était la un savoir faire typiquement français. Aussi la sainte en devenir haussât elle le sourcil lorsqu’il lui proposa de partager avec elle son petit déjeuner, pour répondre le plus naturellement du monde.

    - Vous choisissez mal votre adresse, pour les croissants…

Séparer la patte feuilletée en couches assez fines pour ensuite les réunir, enroulées sur elle-même, tout en préservant une pâtisserie suffisamment aérée, ca n’était pas donné à n’importe quel artisan boulanger. Et la demoiselle préférait de loin le moelleux d’un pain au lait roulé fourrée de patte à la noisette, ou au pavot, comme ils savaient si bien les faire à Vienne.
Son regard se portât sur la fenêtre : une pâle lueur filtrait à travers les rideaux, annonçant un matin qui serait encore lent à quitter ses draps. Un oiseau, encore solitaire, chantait de temps à autre, timide. Pour une fois, elle serait levée avant le soleil. Et pourtant, elle avait pour habitude de se coucher bien après lui… Un fin sourire au coin des lèvres, la demoiselle passa la main dans ses cheveux détachés pour s’étirer quelque peu. Puis, négligemment elle se leva, tenant à peine entre ses seins nus le drap qui la recouvrait pour s’avancer vers l’inconnu.

    - C’est habituel pour vous, d’entrer par effraction avant même le lever du soleil dans une chambre où demeure une jeune femme afin de lui offrir des croissants ? Vos méthodes ont le mérite de sortir de l’ordinaire.

Et, comme il en avait retiré les pieds, elle s’assit sur le rebord de la table près de laquelle il se tenait. D’aussi prêt, le petit déjeuner dont il lui avait proposé une part semblait dégager une odeur plus douce encore qu’au par avant. Charmée par ce fumet, la jeune femme se pencha légèrement sur lui dans l’espoir de voir ce qui se cachait encore au fond du sachet, mais elle n’y parvint pas. Son ventre, de manière si discrète qu’elle seule pouvait s’en rendre compte, lui communiquait qu’elle n’était pas si insensible. Ea finit par répondre l’air un peu morose, mais non moins intéressée.

    - Mais l’offre demeure assez alléchante…


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