Retour isolé.

Cette chronique débute après le retour du sanctuaire lors de la dernière Gs:

La fin de la guerre sainte venait d' être déclaré par le tout puissant Zeus, le dieu des dieux. En instituant une sorte de statut quo, il pensait, peut-être, que la paix instauré sous son autorité aurait plus de poids que face à la guerre avec son vainqueur et son vaincu. Pour autant, les chevaliers de l' espoir et les asgardiens savaient avoir perdu quelque chose de précieux et qu' un travail très important devrait avoir lieu pour se remettre dans le sens de la marche. La marche de la victoire en éradiquant une bonne fois pour toute les forces de mal.

Le retour sur les terres froides et très rude du royaume d' Asgard furent fait avec des pensées plus ou moins négatives pour le jeune loup des steppes. Lui qui n' avait pas rempli sa part du contrat durant cette guerre sainte, du moins le pensait-il, en éliminant plus de deux spectres. C' était peu mais cela aurait-il pu être bien pire ? Combattre et perdre contre le premier venu, donc l' un dans l' autre il s' y retrouvait peut-être un peu.

Alors, la seule chose qu' il pouvait faire pour se changer les idées se fut de se battre, d' acquérir encore plus de puissance, d' endurance et d' efficacité dans ses techniques de combat. Il prit donc le chemin des frontières du royaume entre le désert de glace et l' entrée d' Asgard et s' en alla à la rencontre des plus gros ours qu' avait le royaume des neiges éternelles. La saison des amours avait débuté elle aussi, alors la méfiance devait être de mise car avec tout ses gros mâles qui étaient en rute et un inconnu sur leur territoire cela risquait fort bien de ne pas faire bon ménage.

Ses capacitées de féroce prédateur le firent se faire extrêmement discret, il se camoufla au mieu dans la neige dissimulant également son énergie cosmique. Il allait observé longuement avant de trouver sa proie, celle qui serait dangereuse mais qui se retrouverait isolé du reste du groupe. Alors, pour une fois, le petit loup allait devoir apprendre à maîtrisé son caractère et devoir faire preuve de patience sous ce froid magistral. De longues heures s' écoulaient fastidieusement mais alors que Samiel commençait à fermer les yeux, l' un de ses gros mâle se mit à l' écart du restant du groupe.

Parfait ! Se sera celui-ci.....

La chasse à l' ours allait pouvoir enfin débuté. Samiel était toujours entrain d' observé tranquillement cet ours et attendre encore un peu qu' il s' éloigne bien plus de ces congénères. L' ours qu' il était désireux de prendre à parti était d' un gabarit imposant, et qui dressé sur ses pattes arrières devait bien mesuré 3m30 avec un poids d' environ 500 kg, son pelage était jaune crème signifiant qu' il allait avoir affaire à un mal âgé, donc bien plus dangereux.

Cet animal réputé pour avoir un flair hors-norme n' avait jusque là pas ressenti la présence du guerrier divin d' Epsilon et c' était tant mieu, aussi non les autres se seraient rameutés et probablement que le loup d' Asgard aurait dû prendre la poudre d' escampette rapidement. L' éloignement continuait encore petit à petit et, désormais, le carnivore devait être à une petite centaines de mètres des siens. Le loup solitaire allait devoir agir rapidement et sans commune mesure, alors, à son tour, il sorti de son trou et couru aussi vite que possible pour allait mettre à terre l' imposante créature.

Un grognement se fit entendre...et la tête de l' animal se retourna en montrant sa gueule énorme. Sa mâchoire était impressionnante et un coup de croc devrait laisser des marques incroyable sur l' un des siens mais sur un homme c' était une mort à coup sûr et certaine. Bien qu' il ne vit pas Samiel sur le coup, il avait ressenti que quelqu'un était là maintenant et se fit prudent scrutant tour à tour les divers horizons.

Et merde....

Heureusement qu' il se déplaçait parmis les plus vite de son royaume sinon cela lui aurait été bien plus difficile. Une seule seconde lui suffit pour se retrouver en dessus de l' ours polaire et il lui planta les griffes au niveau des pattes avant farouchement. L' animal était blessé et grogna férocement avant de se mettre à courir sur une cinquantaine de mètres vers l' avant, s' éloignant ainsi encore un peu plus de son groupe. Samiel était visible, sa position était clair et précise, droite comme un homme prêt à portait un coup fatal.

Ils se faisaient face se regardant l' un et l' autre. Samiel du haut de son mètre soixante quinze et là, cet ours qui se lêcha la patte blessée avant de se redresser sur ses deux pattes et qui du coup paressait beaucoup plus impressionnant que prévu.

Tout doux mon joli...

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