Le temps était pluvieux. Le ciel pleurait de grosses larmes, les gouttelettes frappaient le casque de Kizo dans un bruit léger mais sourd. Le guerrier de Poséidon avançait dans ce décor peu commun. En effet, l'arrière plan était assez intimidant. Des hautes montagnes, aussi haute que le ciel. Le sol était étrangement défraichis et le poids de son corps laissait de grandes traces de pas dans les flaques de boue. Kizo était pensif, il s'était arrêté de marcher, lui qui marchait depuis quelques heures maintenant. Il en avait assez de parcourir le monde et d'arrêter les petits brigands pour le solde de son général. Il rêvait de défendre le sanctuaire de donner enfin la gloire à son maître, le Dieu qui ébranle le sol. C'est avec ces pensées, qu'il s'enfonça dans le décor, comme un clou pénètre le bois avec un coups de marteau, comme la foudre frappe la terre un soir d'orage, Kizo Eumolpos disparu.

Après plusieurs heures de marche. Il avait repéré l'étrange montagne que la Nymphe lui avait laissé entrevoir dans sa vision. Devant lui se tenait un petit campement. Il faisait nuit. Kizo n'avait pas besoin de jouer de sa ruse pensait-il. Si ces gens étaient des profanateurs, il fallait régler ça au plus vite. De plus, Kizo n'avait qu'une envie, regagner le sanctuaire marin rapidement. Il s'avança alors droit devant lui. Il tendit alors son bras droit devant lui alors que le campement se faisait de plus en plus proche. Deux bandits maintenaient la garde. Il n'avait pas sentis grand chose dans ce campement, 7 bandits de grands chemin. Il s'arrêta alors et la pluie fracassait son casque. Le bandit de droite mis une torgnole à son comparse pour qu'il se réveil. Ils toisèrent Kizo avec un air de grande surprise.

" Q...qui es tu ? " Marmonnait-il

" Shima Den'ki " Murmura t-il.

Un air électrique parcouru l'air ambiant et frappa les corps des deux gardes. Leurs corps furent brulés vifs sur le champs. A peine avait-il jeté les corps, qu'un paria l'attaqua par la gauche. Kizo se saisit de son poignet, le tourna et lui brisa violemment, il frappa ensuite son corps avec les protections de son armure et lui perfora l'estomac. Il succomba. Plus que 4 se disait Kizo. Il invoqua une nouvelle fois son pouvoir et pu sentir qu'au loin trois des 4 aura s'étaient éteintes. Cependant, quelque chose ne tournait pas rond. Lorsqu'il avançait dans le village, il s'apercu que le sol était jonché de cadavres, au moins une grosse quinzaine et qu'au fond du village se terrait, quelque chose ou quelqu'un qui avait plus de puissance qu'un simple mortel.