Un évènement étrange.

La Succube ne fit pas le poids face à l' attaque dévastatrice du chevalier d' or. En effet, son corps se retrouva littéralement consumé par les feux follets et quand l' explosion eut lieu son corps s' éparpilla en petit morceaux. La tête de la Succube à ses pieds et brûlait au troisième degrès, Urio regarda cela un instant, puis laissa échappé un petit sourire en coin.

Et un de moins ! Que croyait-elle, franchement ?

Il ramassa cette tête sans corps et la pulvérisa en miette à l' aide de sa main gauche. Bien que sans armure, Urio avait réussi à prouvait sa puissance pour le début de ses joutes infernales. Qu' hadès ou son épouse, même les plus puissants des spectres, regardaient cela en s' amusant, il n' en avait que faire. La seule chose qui comptait désormais était de combattre, encore et encore, regagnait sa liberté et pouvoir regagnait le sanctuaire même si il se doutait bien que son retour en ferait jasé plus d' un. En particulier ses frères d' armes.

Un bruit énorme eut lieu, puis très rapidement une armées de squelettes arrivèrent afin de ramener le chevalier d' or vers les géôles. Ils l' encerclèrent et l' obligèrent à sortir de la surface de combat.

Bien...bien...je vous suis.

Voilà! Ils venaient de ramener Urio dans sa géôle, enfermé comme un malpropre derrière les barreaux de sa cellule.

Alors qu' il allait se reposait un instant avant d' entamé un autre combat. Urio ressentit la présence de plusieurs chevaliers d' Athéna dans les parages. Etaient-ils venus pour lui ? Pour l' aidait à regagné la liberté ? Peut-être, après tout. Tous ne l' avaient pas ridiculisé comme un malpropre lors de son accession au rang suprême de la chevalerie d' Athéna.

Un long moment se passa et Urio venait de récupérer un maximum de sa force. Alors, il attendit qu' on vienne le cherchait afi de retourner combattre dans l'arène des enfers.

Hrp : Petit post Rp avec mon double maléfique avant d' ouvrir un topic combat ^^

Une silhouette toute noire vêtue avançait dans les couloirs sombres du Colisée des Enfers. On lui avait raconté qu'un Chevalier d'Or croupissait dans sa cellule, depuis son dernier combat contre une Succube un peu minable. Il paraitrait qu'elle n'avait pas brillé dans l'Arène, à moins que ce ne soit ce maudit Saint d'Athéna qui était coriace. Mais évidemment, le prochain rival de cet homme ne voulait pas trop y croire. Ici, on était aux Royaume des Morts et sous la protection du cosmos incommensurable du Sombre Monarque. Ce dernier avait beau être absent, son aura régnait sur ce territoire depuis des lustres, de toute manière.

Une porte grinçante retentit, puis se claqua brusquement derrière le combattant des ténèbres. Ses pas de métal cognèrent le sol avec une lenteur pesante, qui faisait froid dans le dos et l'entrejambe de beaucoup de prisonniers. Des respirations haletantes, des soupirs terrorisés... même les gouttes de sueur sur leur front perlaient de façon communicative et simultanée dans leur trou à rat.
L'homme, car oui, c'en était un, portait en fait une armure le recouvrant totalement. Et s'il s'amusait à en faire une ombre chinoise, les murs dessineraient sans conteste un monstre avec une tête affreuse. Sûrement à cause des pattes qui ornaient son casque. Quant à son visage précisément, il ne valait mieux pas le regarder droit dans les yeux, sous peine de mourir, le sang glacé dans ses propres entrailles.

_ Je ne m'étais donc pas trompé, fit-il, arrivé devant la cellule du Cancer d'Or. Nous avons bien le gardien de la quatrième Maison du Sanctuaire d'Athéna, dans nos filets ? Quelle chance ! Lorsque je t'aurai écrasé, je me ferai un plaisir de leur envoyer ta tête, hahaha !

Urio allait découvrir qu'il aurait affaire à lui-même, dans un certain sens. Il avait les mêmes traits, la même taille... bref, le même physique au poil près, si ce n'est que ses yeux avaient une sale couleur rougeoyante. Son teint de peau aussi virait à la couleur obscure. Pour ce qui est de l'armure, l'éclat de celle-ci brillait comme le néant.

_ J'espère que tu as récupéré assez de forces. Je ne voudrais pas que notre prochain combat tourne trop rapidement en ma faveur. Alors, si tu n'y vois pas d'inconvénients... place au spectacle !

Kailios, Le Spectre du Cancer (dira-t-on) ouvrit ensuite la cage du détenu. Il tendit le bras en guise de direction à suivre, et attendit la réaction de son futur souffre-douleur.

/hrp: vala donc un ptit truc pour t'accueillir, alors.

Un cosmos ténébreux de puissance égal au chevalier d' or du cancer se fit ressentir dans le secteur des geôles, puis des pas cinglants se firent entendre dans la petite allée reliant toutes les cellules des prisonniers.

Enfin ! De la visite... Fit Urio avec ironie.

Les pas continuèrent de se faire entendre jusqu' à ce qu'enfin cet homme fit son apparition devant la cellule du quatrième gardien du sanctuaire. Le face à face était étrange. Surtout quand y regardant bien de plus près, Urio reconnu son armure sauf que celle-ci était un surplis d' Hadès, mais aussi que leur physique avait une certaine ressemblance. Les paroles de ce dernier à l' égard d' Urio le fit rire.

Ma tête, dis-tu ! Je te souhaite d' être très fort, alors...

Les portes de la cage s' ouvrirent et Urio sortit donc de sa cellule. Il fixa les deux yeux rougeoyant et avança encore laissant cet ancien chevalier d' or dans son dos. Il s' arrêta un instant, puis, d' un soudain instant de curiosité prit le chemin de la conversation.

Ainsi, si je ne me trompe pas, tu es un ancien chevalier d' or du cancer. Quel est ton nom chevalier ? Moi, je suis Urio chevalier d' or du cancer et je compte bien le restait.

Quelle étrange situation ! Se retrouvait, ici, aux enfers et se battre contre un des anciens porteurs de l' armure d' or du cancer. Quel en était le but ? Et pourquoi, lui, avait-il passé du mauvais côté et accepté l' offre du sombre seigneur, Hadès. Oui, pourquoi ?

A la direction donnait, Urio avança vers celle-ci en espérant avoir une petite réponse à sa question. Cet homme lui causerait probablement pas mal de soucis, mais après tout c' était bel et bien dans la difficulté et les sombres chemins que des futur héros naissaient. Et Urio compterait bien rentrait dans les légendes vivantes du sanctuaire d' Athéna.

les arènes

Les deux imminents rivaux longèrent ainsi l'un des nombreux couloirs des Geôles dans le sens inverse, direction l'Arène. Précédé par Urio, le Chevalier de l'Ombre refermait la marche. Ils arpentèrent les coulisses du Colisée jusqu'à ce que le Saint s'arrête et se retourne. Comme si c'était le moment d'avoir les chocottes et de vouloir rebrousser chemin ? Non. En fait, le Cancer voulait juste discutailler le bout de gras avant sa mort prochaine, tout ce qu'il y a de plus banal.

_ Mon nom ? Je ne sais pas ce qui est écrit sur vos pierres tombales du Sanctuaire, mais ici, on m'a surnommé Kailios. À vrai dire, ce n'est que récemment que l'on est venu me déraciner des tréfonds du Cocyte. On m'a promis que si je te battais, j'entrerais dans les bonnes grâces du Seigneur Hadès.

Le Sombre Crabe poussa ensuite son adversaire pour l'inciter à reprendre la voie du grand ring infernal, et derechef lui emboîta le pas.

_ Allez, avance maintenant ! Ça ne te servira à rien de gagner du temps. Quoiqu'il arrive, sache que tu es condamné. Et rien n'y personne ne te sauvera, hahaha ! À part peut-être... un miracle ?

Il parait que les Saints comptaient souvent sur cet étrange phénomène pour leur sauver les miches, en situation de crise extrême. Mais cette fois-ci, Kailios n'y croyait pas vraiment. On lui avait donné une occasion en or de pouvoir se racheter, et il l'avait saisi plutôt deux fois qu'une... même si tout le monde sait que l'emprise maléfique sur son âme le manipulait plus qu'autre chose.

Que la lumière soit, et la lumière fut, les deux combattants virent bientôt le bout du tunnel. On passa alors des plaintes de prisonniers à des tribunes scandant leur souhait d'assister à un bon moment de boucherie. Kailios, lui, en profita pour s'épousseter son Surplis fraîchement gagné pour cet événement, et glissa un mot dans l'oreille des simples gardes postés alentour, comme quoi ils devraient veiller à bien fermer toutes les issues, afin que l'ennemi ne puisse pas se sauver.
Une précaution en plus, en somme.

=> Arène.

arène de combat.

Ainsi, le chevalier d' or du cancer avait eu raison de Kailios en lui faisant mordre la poussière une bonne fois pour toute. Le pauvre damné. Il devait souffrir mille tourments à l' heure actuelle, lui qui avait osé pactisé avec le diable en personne allait réellement savoir ce qu' il en couterait à ceux qui échouaient face à l' ennemi. Hadès n' était pas de ceux à faire une jolie fleur sans rien n' avoir en retour.

Kailios.... soupira Urio.

Assez étrange également et comme pour son premier combat, Urio se retrouva frais comme un gardon, prêt pour un autre combat, encore et encore. La fin n' était pas toute prôche, mais en tout cas ce qui était certain c' était la détermination qu' on pouvait entrevoir dans ses yeux. Jamais il n' abandonnerait face à l' adversité même si ces choix étaient dictés un peu aléatoirement et que pas mal des siens ne comprennent pas ce qu' il avait pu faire en combattant ce maudit Rochel, Titan des enfers infernal.

Toi, un jour on se reverra et là je serais bien plus fort et te ferait mordre la poussière comme tu le mérite.

L' arme du Balrog disparu de ses mains, puis Urio se retrouva comme par magie dans sa cellule. Les prisonniers ne le regardaient plus pareil. Quelque chose venait de changer. Les hurlements à son égard ou le mépris avaient laisser place à une certaine admiration d' avoir survécu à ses deux premiers combats. Des applaudissements même se firent entendre dans cette allée sans fin. Urio serait-il sur le chemin pour être l' un des seuls à réussir ce tour de force ? Le seul à tenir tête aux hommes des enfers ? Probablement que non. Dans toutes ces cages, il devait bien y avoir au moin encore un homme capable de cet exploit là.

Le chevalier d' or s' allongea donc afin de se reposait et de voir le moment ou on viendrait le réveiller pour combattre de nouveau. Du repos, il en avait besoin comme tout homme cherchant à se surpassait jours àprès jours afin de devenir plus fort et de venger ceux qu' on a perdu. Beaucoup de choses se mélangèrent encore jusqu' à ce qu' Urio ferma les yeux définitivement.....

A toi de jouer Icare...

Citation :: HRP : reprise du combat mais pas Icare , c'est une petite introduction pour mettre en bouche ^^

" Réveilles toi ! Bon à rien de crustacé !!! "

La voix était monocorde, sans une once de vie, un bossu à la mine patibulaire était devant les barreaux de la cellule, observant avec un sourire forcé son prisonnier. Il sortit alors un lourd trousseau de clés d'on ne sait où, et regarda les différentes possibilités pendant un long moment. Ses doigts squelettiques dansaient la carmagnole sur son trousseau, puis tout à coup, il prit une clé et ouvrit la cellule du chevalier d'or. Il entra à l'intérieur et renifla son détenu pour savoir si les rats ne l'avaient pas asphyxiés en dévorant ses poumons, constatant que non, il avait une mine de dépit et fit signe à ce dernier de le suivre.

Un long tunnel faisait office de ligne verte pour les condamnés des souverains des enfers. Le geôlier se désolait que ses Maîtres ne puissent pas observer le beau duel qu'il avait préparer sous le commandement du juge Herek. Pour sûr ! Cela était une belle chance de s'être rappeler de ce prisonnier venu de l'ancienne Rome, un sourire malingre et sournois transparaissait sur ses lèvres.

************

Il fit tout à coup signe à son prisonnier de continuer tout droit, il avait quelqu'un à aller chercher et non des moindres. Mais il devait déjà persuader cet homme de se battre pour Hadès, chose qui avait toujours été un échec patent. Le pauvre Vladimir se faisait fort de battre les autres geôliers, de prouver à son juge, à ses Dieux, qu'il était le plus compétent pour diriger l'arène et les esclaves. Brinquebalant son corps distordu par le temps, il se dirigea vers une cellule parmi tant d'autres.

La clé ouvrit la cellule, à l'intérieur, une ombre était enchaînée au mur, des chaînes venant tout droit des mines noires des enfers. Seul un certain Prométhée avait eut droit à ce supplice autrefois, mais cet homme là était trop puissant pour le laisser libre de ses mouvements.

" Salut toi ! Ecoutes moi bien ! Y'a dehors là un faux serviteur de ta déesse et tu devras le battre si tu veux la servir ! Si tu réussis à le battre, ben tu seras libre...

- Suffit pourceau ! Par Athéna, je ne m'abaisserai pas à vos combats futiles, j'ai servi et je servirai Athéna du Cocyte ou ici, que m'importe...

- Tout doux ! Si tu veux la servir, ben faut sortir d'ici, sa Majesté est pas là en ce moment, la grande Perséphone est parti aussi, reste que toi et moi ici.... Alors, si tu es fidèle à Athéna, ben au moins, tentes de la rejoindre, car ca m'étonnerait que le Tartare lui plaise actuellement ! Si tu veux, je te laisse combattre l'un de MES champions, un chevalier d'or comme toi avant...

- Comment ? Athéna ? Dans le Tartare ? un chevalier d'or qui la trahit... (la voix de l'homme faiblissait) "

Cette fois-ci, oui, pour une fois, l'Homme allait se battre pour avoir la liberté de la rejoindre et de la sauver, comme tout serviteur et loyal sujet d'Athéna devait agir ! Force et Honneur ! Il laissa le bossu le détacher et sentit une étrange surplis l'entourer lentement, étrange sensation qu'il n'avait pas connu depuis des siècles mais peu importait, il devait agir au plus vite et au diable sa vanité et sa fierté...

Sortant du même tunnel que son prédécesseur, le chevalier d'or du Cancer, un homme au long cheveux argentés et aux yeux saphirs pénétrait dans l'arène. Il portait un surplis noir comme l'obsidienne et deux cornes à ses épaules était le signe de son rang, oui, celui de chevalier noir du Bélier. Il portait une lourde cape ocre et noire, toutefois, un signe distinctif était encore autour de son cou, un magnifique collier qui se portait par tous les grands Popes depuis des siècles, composés des couleurs de la vie... Les prunelles de l'homme exprimèrent un profond dégoût et de la peine pour l'homme aux cheveux bleus qui était devant lui...

" Décidément, la trahison est toujours là où on ne l'attends pas ! Présentes toi sale Traître et nous combattrons pour nos idéaux, moi pour Athéna et toi pour la divinté des nuits éternelles ! "

Arène de combat

Le sommeil du cancer était anormal, assez étrange qu' a l' accoutumée. Sa respiration était rapide et les battements de son coeur en pleine course de sprint. Son sommeil, quand à lui, s' était mélangé à des souvenirs inoubliables et très présents dans son être. Ses souvenirs, eux, vinrent à se transformé en cauchemars. A qui la faute ? L' ennemi ou la sienne ? là était toute la question.

Décidément, il ne pourrait jamais oublié cela. Son disciple, ce maudit marina du requin...puis tout un tas d' autre chose. Le chevalier d' or du cancer avait beau être un homme fort et vaillant, ses défauts lui pourrissaient sa petite existence. Son complexe d' infériorité par rapport aux siens et sa sensibilité notamment. Pourtant cela faisait partie intégrante de lui et de ce qu' il était parvenu à devenir, alors pourquoi^vouloir être si dur avec soi ?

Des suées venaient de prendre forme sur le visage de ce chevalier d' or, protecteur de la paix et de la justice. Ce qui pouvait laisser imaginé que ce qu' il était entrain de rêver ne lui laissait aucun répit. Absolument aucun ! Certaines parties de son corps bougeaient toutes seules telle une marionnette qu' on pouvait actionné à distance. Alors que la vision de ce combat inégal entre son disciple, le jeune Yaku, et Kyro, homme de main de Poséidon refit surface. Urio se fit réveillé comme il se devait.

Ses yeux s' ouvrirent lentement. Il s' essuya le front de toute cette suée et regarda son geôlier. Reprenant un air serein et combatif, Urio lui souri avant de lui répondre ironiquement.

Tu seras le prochain sur ma liste noir. Mais soit ! Allons, une fois encore, combattre ces bons à riens comme vous en avez par milliers ici bas...

Urio sortit de sa cellule et prit le chemin menant vers les arènes de combat des enfers. Là, son geôlier lui fit signe de continuer tout droit, mais seul.

Ok...ok.. pas de souci, je m' y rend de ce pas !

La séparition se fit sans souci particulier et bien que le chevalier d' or du cancer se posait une question particulière dans sa tête. Il ne préfèra pas fuir devant le danger. Cela aurait été une honte, pour lui, pour sa déesse qu' il servait toujours même si il était obligé de se battre ici pour l' infini.

arène de combat.

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