Il faut croire que même athena avait des petites problèmes consernant son sanctuaire et les chevaliers qui la servaient fidèlements. Mais il en avaient qui manquait encore de jugement et de respect envers les divinités. Je trouvais que la réunion commencait à dépérir et qu'il fallait mieux que je réfléchisse correctement a cette alliance. J'étais venue pour écouter athéna et ces ce que je suis venue faire. J'ai vue par mes propres yeux que athéna était une divinité remarquable, mais qui ne voyait pas la vie comme que la voie actuellement. Elle avait encore beaucoup de travail a accomplir pour avoir un niveau de sagesse. J'avais maintenant deux propositions , une était celle de hades et l'autre de athéna. J'avais également le choix de prendre une descision qui était de rester neutre pour le moment.



Je me levais lentement avec grâve et agilité. Les choses commencaient à ce compliquer et je sentais que dans le sanctuaire marin, il avait des présences pas très commode qui était là. Je devais aller voir ce qui se passe et tout de suite. J'étais maintenant en charge du sanctuaire marin en attendant que mon époux revient parmit nous en tent que dieu des oceans.


Haiken n'étais pas loin et athéna lui parlait de ce que son chevalier avait fait et demandait le pardon a sa place. Je me dirigeais vers haiken d'un pas tranquille en remettant ma cape blanche pour cacher mon corps.


Athéna, tu es une déesse. En tent que telle tu ne dois pas encaisser les erreurs diciplinaires de tes chevaliers. En tent que divinité tu dois montrer l'ordre et le respect a ceux qui te sert et ces la même chose pour toutes les divinités..


Je gardais le silence un moment avant de regarder haiken droit dans les yeux en lui sourriant avant de parler une nouvelle fois.


Mon général sait se défendre, athéna. SI il a agis sanas riposter, ces que je lui est demander. Je te conseil de parler sérieusement a celui qui a entrer ici en trompe sans se présenter. La prochaine fois, je serais moins indulgente et si sa aurait été un autre dieu, il n'aurait pas hésité a lever la mains. Oublit pas athéna que tes chevaliers te représente sur un champs de bataille. Sur ce, je dois te quiter et je te donnerais une réponse d'ici quelque jours. Je vais réfléchir a ton offre la tête reposer.


Je sourriais avant de tourner les talons pour finalement quiter le temple de athéna. Nous descendions les marches jusqu'à la dernière maison . Je regardais une nouvelle fois derrière moi, je ne savais pas tros quoi faire pour le moment. Je devais règler le problème qui se trouvait en ce moment au sanctuaire marin. C'était le plus urgent et je ne devais pas m'absenter aussi longtemp. Il fallait que je fasse vite avant qu'un erreur se fait en mon absence. J'avais confiance au marina, mais il avait de questions qu'ils ne pouvaient pas répondre sans mon conscentement. Nous nous dirigeons vers le sanctuaire marin.

"Sauf tout le respect que je vous dois Amphitrite, je n'ai nul besoin que vous m'indiquiez ce que je dois faire ou comment je dois me comporter face à mes chevaliers.
Si votre façon de faire est d'imposer à vos guerriers, ce n'est pas la mienne. Je ne crois pas vous avoir une seule fois indiqué la façon dont vous deviez régir votre royaume. Par conséquent je vous serez gréée d'en faire de même avec moi." Dit-elle d'une voix claire et calme dans laquelle ne résidait pas une once d'agressivité malgré la fermeté de ses propos

"Je ne vois pas face à quoi votre général aurait eu à riposter. Voilà un terme bien fort lorsque l'on parle d'intrusion et non de conflit ou d'attaque quelle qu'elle soit.
Urio a commis une faute et il le sait. Si ce simple fait suffit à provoquer chez vous un tel raz-de-marée, sans mauvais jeu de mot, j'en suis profondément désolée même si je trouve vos réactions extrêmes.
Cependant..." Le regard de la déesse sonda la divinité qui lui faisait face sans sourciller. "...je vous demanderai de ne plus proférer de menace ici. Vous avez votre façon de faire et j'ai la mienne. Il n'est en aucun cas question de quelque indulgence que ce soit, surtout face à un acte aussi minime même s'il était peu approprié.

"Faites entrer Urio." Dit-elle à l'adresse des deux gardes de la porte avant de se laisser choir dans l'épais fauteuil de velours rouge, visiblement contrariée.